Envie tout simplement d'une
soirée "crêpe-cidre" à la façon "vacances en Bretagne"?
Entre une petite visite à
Notre-Dame de Paris et une ballade sur les quais de Seine, "Chez
Suzette" ce sont deux jeunes gens qui vous accueillent dans leur crêperie
chaleureuse et sympathique...
Ici pas de grandes manières,
la cuisine fait partie de la pièce et on vous apporte le cidre puisé
directement dans la cave.
Le rythme de la vie parisienne s'accélère, les réunions s'enchainent les unes aux autres, la liste des "TO DO" s'allonge, et vous n'en pouvez plus, nous non plus ! Alors dites STOP ! Prenez le temps d'une retraite, quittez le bruit du métro et des "notification" d'iPhone, déconnectez tweeter et facebook... pas pour toute la vie (qui sais... peut-être qu'on y prend gout) mais juste le temps d'une retraite... avec des moines ! Il y en a qui ont essayé... ils ont aimé parait-il !
Où?
A l'Abbaye royale Notre Dame de Fontgombault (près de Poitiers)
Quand ?
Du mardi 27 décembre au samedi 31 décembre 2012 (4 jours)
Avec qui ?
Prêchée par deux moines: le Père de Blignières et le Père Jourdain FSVF
Découvrez une rétrospective inédite consacrée à la peinture du XVIIe siècle dans les églises de la capitale. Environ cent vingt peintures, dessins et gravures issus de collections françaises et étrangères seront rassemblés pour la première fois au musée Carnavalet.
Peintures des églises de Paris au XVIIe siècle
Où?
Musée Carnavalet - 23, rue de Sévigné - 75003 Paris
Quand ?
Du 4 Octobre 2012 au 24 Février 2013
Le musée est ouvert du Mardi au Samedi, de 10 h à 18 h
Par son drame psychologique, Médée nous plonge dans un monde où l’héroïne dresse sa pure violence idéaliste contre l’univers matérialiste et opportuniste de son époux, Jason, et de leur « protecteur » Créon. Des mondes divergents s’affrontent dans la démesure et l’extrémisme. Des mondes de passions outrancières qui, à défaut de laisser la raison triompher, se détruisent mutuellement, ivres de leur soi-disant bon droit. L’amour possessif que Médée voue à l’homme auquel elle a lié sa vie et son destin révèle que l’amour n’est pas tant l’affaire des dieux que celle des hommes, excessifs par essence, puisque l’être qui représente l’Amour – en l’occurrence Médée – ira jusqu’à s’octroyer le droit de détruire sur son passage tout ce qui s’y trouve, à commencer par ses propres enfants. Le mystère qui pèse sur ce mythe a fait l’objet de nombreuses interprétations et a inspiré des poètes de toutes les époques.
Pour cette nouvelle représentation du chef-d’oeuvre de Charpentier, fruit d’une collaboration entre le chef Emmanuelle Haïm, le metteur en scène Pierre Audi et le plasticien Jonathan Meese, le caractère baroque de l’opéra a été totalement respecté, mais le contenu de l’ouvrage n’en est pas moins passé à travers le filtre d’un regard artistique soucieux de mettre en relief les affinités troublantes qui existent entre deux types de « sociétés du Spectacle » : le protectorat exercé par Louis XIV sur les arts de son temps et le voyeurisme éhonté qui domine les sociétés de contrôle du XXIe siècle. En se transformant en Ange de la mort, Médée ne nous invite-t-elle pas à mettre en question notre éternelle propension à échapper à toutes nos responsabilités ?
Vous êtes comme ça: Vous avez toujours plein de rendez-vous, un agenda plein à craquer, vous ne trouvez jamais le temps de vous poser pour penser à... toutes ces questions essentielles. Nous non plus. Alors maintenant, le mercredi on va aux conférences spi !
Boulevard des Invalides, le mercredi, c'est conférence spi : plutôt que de repousser toujours le moment de la réflexion, là-bas on peut profiter gratuitement d'un soir en semaine pour écouter un moine dominicain nous parler de la connaissance de soi et de la construction de notre personnalité, tout en profitant d'un buffet...
Le 4 octobre, en l’église Saint-Étienne du Mont, où se trouve la tombe de Pascal, le dramaturge
Eugène Green donnera une lecture mise en scène des pages consacrées à Pascal dans l’Abrégé de
l’histoire de Port-Royal de Jean Racine.